Nom : Paoli
Prénom : Vincent
Age : 65 Ans
Matière enseignée : Magie du Feu
Physique : Il est vrai qu'avec de l'âge, on prend du poids... C'est particulièrement vrai pour moi. Cependant, ce n'est absolument pas une gène car j'arrive à rester toujours aussi agile que dans ma jeunesse (ou du moins, j'y crois...). En plus de mon embonpoint, et de ma taille plutôt réduite (de 1m69), j'ai une calvitie précoce, qui fait que le dessus de mon crâne est dégarni, alors que je porte le reste de mes cheveux longs et grisonnants, le plus souvent lâchés, ou une partie attachée. Je porte aussi une longue barbe en broussaille dont la couleur se confond parfaitement avec celle de mes cheveux. J'ai la peau pâle, et mes yeux sont bridés, car je suis issu d'une union Corse-Nippone (j'vous raconte pas le mélange...). De plus, ces mêmes yeux brillent d'une belle lueur orangée. Je me fiche de la couleur de mes habits, mais, en général, il y a toujours quelque chose de rouge, ou d'orangé, pour rappeler mon élément de prédilection (le feu).
Caractère : Je suis quelqu'un de plutôt calme, et j'ai la chance d'avoir appris à être très patient (mais alors, vraiment beaucoup). Cependant, (et si vous y arrivez chapeau !), lorsque quelqu'un me pousse hors de mes gonds, j'ai tendance à oublier que la nature m'a doté d'un cerveau (c'est la sénilité qui me guette...) et je fonce dans le tas. Mais cela n'arrive que très rarement, alors, ne vous en faites pas !
En dehors de ces deux seules qualités (je suis nul pour me vendre, mais au moins, je suis honnête... Ça fait trois !), je suis quelqu'un d'espiègle, qui ne se concentre pas toujours sur les choses importantes. Ainsi, alors qu'une bagarre peut éclater autour de moi, si je suis en train de penser à autre chose, je peux mettre un certain temps avant de me rendre compte de quelque chose... Souvent dans la lune, souvent souriant, je peux parfois passer pour un vieux un peu fou, mais ne vous y trompez pas, sous mes airs de vieux bonhomme sympathique et timbré se cache un redoutable adversaire, et je vous déconseille vivement de dire quoique ce soit à propos de mon âge. Car c'est la seule chose pour laquelle je suis très susceptible.
Animal de compagnie : J'aime bien les dragons, mais c'est impossible à domestiquer ces bêtes là... Et croyez moi, j'ai essayé !
Pouvoirs spéciaux : Euh... Ceux que j'ai me suffisent, merci !
Histoire :
Je suis né il y a près de 66 ans maintenant, d'un père Corse, et d'une mère japonaise, tous deux sorciers de leur état. J'ai grandi dans cette petite île méditerranéenne, et j'y ai passé une enfance idyllique. Nous vivions dans le seul village sorcier de l'île, dissimulés aux moldus. Nous n'étions pas très nombreux, une dizaine de maison peut-être, mais nous nous connaissions tous, et nous formions une communauté plutôt bien organisée, si bien que nous avions rarement des rapports avec l'extérieur, en dehors des études pour les jeunes, qui devaient se passer en France. Lorsque mon père a ramené ma mère au village, suite à leur rencontre pendant leurs études, cela a bien jaser tout le monde, mais les villageois, très hospitaliers, oublièrent bien vite que ma mère était une étrangère.
Cependant, lorsque je suis né, et que j'ai très vite commencer à manifester des dons pour le contrôle du feu, la pilule a été plus difficile à avaler. Dans le contexte de l'époque (60 ans en arrière, et dans un petit village reclus), rien d'étonnant à ce que les gens, qui ne savaient rien ou presque de la magie élémentaire, aient un petit peur de voir un bébé de 3 mois en train de s'amuser avec des flammes en forme de nounours... Mais mes parents ont vite appris à maitriser ce qu'ils appelaient affectueusement mes "petits accidents pyrotechniques"... Et plus tard, lorsque j'ai commencé à prendre conscience que je pouvais faire ça, j'ai toujours fait très attention, car le feu est un élément instable qui a besoin d'être maitrisé parfaitement. Alors, même si je ne savais pas très bien ce que cela voulait dire, j'écoutais mes parents, et n'usais de mon don que dans des espaces qui ne risquaient pas de partir en fumée. Alors, très vite, les villageois m'ont accepté, et lorsque j'ai commencé mes études dans cette même école où je me présente aujourd'hui au poste de professeur, et que j'ai appris à maitriser cela, je m'amusais à donner des petits spectacles ou je montrais les choses que j'avais apprises en classe. Ainsi, je devins vite apprécié de tout le monde, et jamais personne n'eut à se plaindre de moi.
Lorsque j'eus atteint l'âge de onze, je dus partir en France pour assurer ma formation magique. Je fus envoyé à l'Elements Académie, et j'y suivis un cursus scolaire banal, en dehors de mes très bonnes compétences en Défense Contre Les Forces Du Mal, ainsi qu'en Magie du Feu, où j'excellais particulièrement. En dehors de ça, mes notes étaient plutôt médiocres, car je passais plus mon temps à rêver qu'à réellement suivre les cours. Je finis tout de même le lycée, mais décidai qu'une licence ne me serait pas utile. Et après avoir mûrement réfléchi (bien que cela me causa des migraines assez pénibles...), je décidai de découvrir l'autre île dont je tenais mes origines. Je prévenais mes parents que je ne rentrerais pas, et je partis à la conquête du monde.
N'étant jamais vraiment sorti de mon île, ou de l'Académie, je ne connaissais pas grand chose du monde extérieur. Je n'en savais que ce que j'avais bien voulu retenir de mes cours... Autant dire, pas grand chose... Deux semaines après mon départ, je marchai dans les campagnes belges, à plusieurs kilomètres de tout moldu. Soudain, je vis un homme -vraisemblablement un sorcier- apparaitre de nulle part avec un CRAC ! caractéristique des personnes qui transplanent. L'homme était beaucoup plus vieux que moi. Je n'aurais su dire avec précision son âge. Il était vouté sur lui même, et semblait devoir reprendre ses forces après avoir transplané. Le pauvre vieux avait dû se tromper dans son transplanage, autrement, je doutais qu'il ait volontairement voulu atterrir si loin de toute présence humaine. Ha, comme j'étais jeune et naïf, et comme je me trompais lourdement...
Il se trouva que ce vieil homme, qui s'appelait Cassandre Octavius, était un très puissant sorcier, qui avait tout comme moi la particularité de maitriser le feu, et ce vieux sorcier, qui avait plus d'un siècle en vérité, m'enseigna tout ce que je sais aujourd'hui. Lorsqu'il me vit la première fois, il m'affirma effectivement qu'il s'était trompé dans son transplanage, mais que s'il avait atterri, malgré les probabilités, en face de moi, ce ne pouvait être dû au hasard. "Rien n'est dû au hasard !" est sans aucun doute la phrase que j'ai le plus entendu pendant tout le temps que j'ai passé avec lui...
Ainsi j'avais trouvé un mentor, qui décida (oui oui, je n'ai pas du tout eu mon mot à dire, même s'il était affreusement grincheux et aigri...) de partir avec moi dans ma quête de mes origines. En chemin, nous faisions étapes dans des auberges perdues où on ne nous demandait rien (on avait quand même l'air un peu bizarre, car à l'époque, les sorciers ne s'adaptaient que très peu aux moldus, surtout un vieil aigri comme Octavius...). Lorsque nous marchions, loin de tout village ou présence moldu, il m'entrainait, et j'appris bien vite à quel point le feu pouvait être dévastateur.
Cela faisait près d'un mois que nous marchions. Nous étions dans des montagnes de l'Est de l'Europe, je ne saurais dire lesquelles, car la fatigue et la faim étaient beaucoup plus importantes pour moi que notre position géographique. Soudain, l'odeur caractéristique d'un feu de forêt emplit l'air, et en levant la tête, nous ne tardîmes pas à apercevoir l'incendie qui dévorait une grande partie du flanc de la montagne. Octavius me sourit "Voilà qui sera un bon entrainement !"
Nous avons donc, non sans mal éteint l'incendie. Et lorsque ce fut fait, et que je m'écroulais de fatigue au sol, soulagé et heureux, mon maître me releva, et me montra ce qu'il restait de cette forêt dont les arbres avaient sans doute poussé pendant des centaines d'années. Elle venait d'être réduite en poussière, en quelques minutes seulement. Ce spectacle me bouleversa profondément, et ce fut la leçon la plus importante que je ne reçus jamais. Le feu maîtrisé est lumière et chaleur. Le feu incontrôlé, en revanche, ne sera que destruction et tourment.
La suite de mon voyage, je ne vous la raconterai pas. Ce serait un récit long et fastidieux, et nous entrerions dans des détails de ma vie qu'il pourrait m'être pénible de vous dévoiler. Voici donc tout ce que vous avez besoin de savoir. Après cette leçon de magie et de vie, Octavius et moi avons voyagé jusqu'au Japon. Il est resté avec moi et jusqu'à sa mort, quelques années après notre arrivée, il n'a cessé de m'apprendre tout ce qu'il savait en matière de Magie Élémentaire. Je suis resté près de 40 ans au Japon, à transmettre le savoir que m'avait laissé Octavius à tous les jeunes sorciers qui le désiraient. Je rentrais de temps en temps en Corse pour voir mes parents. Il y a 2 ans, j'ai décidé de rentrr en Corse définitivement, et suite à des problèmes financiers, et ayant près de 40 ans d'expérience dans l'enseignement, je me présente désormais devant vous, afin de devenir professeur de Magie du feu et de perpétuer l'héritage d'Octavius.
Prénom : Vincent
Age : 65 Ans
Matière enseignée : Magie du Feu
Physique : Il est vrai qu'avec de l'âge, on prend du poids... C'est particulièrement vrai pour moi. Cependant, ce n'est absolument pas une gène car j'arrive à rester toujours aussi agile que dans ma jeunesse (ou du moins, j'y crois...). En plus de mon embonpoint, et de ma taille plutôt réduite (de 1m69), j'ai une calvitie précoce, qui fait que le dessus de mon crâne est dégarni, alors que je porte le reste de mes cheveux longs et grisonnants, le plus souvent lâchés, ou une partie attachée. Je porte aussi une longue barbe en broussaille dont la couleur se confond parfaitement avec celle de mes cheveux. J'ai la peau pâle, et mes yeux sont bridés, car je suis issu d'une union Corse-Nippone (j'vous raconte pas le mélange...). De plus, ces mêmes yeux brillent d'une belle lueur orangée. Je me fiche de la couleur de mes habits, mais, en général, il y a toujours quelque chose de rouge, ou d'orangé, pour rappeler mon élément de prédilection (le feu).
Caractère : Je suis quelqu'un de plutôt calme, et j'ai la chance d'avoir appris à être très patient (mais alors, vraiment beaucoup). Cependant, (et si vous y arrivez chapeau !), lorsque quelqu'un me pousse hors de mes gonds, j'ai tendance à oublier que la nature m'a doté d'un cerveau (c'est la sénilité qui me guette...) et je fonce dans le tas. Mais cela n'arrive que très rarement, alors, ne vous en faites pas !
En dehors de ces deux seules qualités (je suis nul pour me vendre, mais au moins, je suis honnête... Ça fait trois !), je suis quelqu'un d'espiègle, qui ne se concentre pas toujours sur les choses importantes. Ainsi, alors qu'une bagarre peut éclater autour de moi, si je suis en train de penser à autre chose, je peux mettre un certain temps avant de me rendre compte de quelque chose... Souvent dans la lune, souvent souriant, je peux parfois passer pour un vieux un peu fou, mais ne vous y trompez pas, sous mes airs de vieux bonhomme sympathique et timbré se cache un redoutable adversaire, et je vous déconseille vivement de dire quoique ce soit à propos de mon âge. Car c'est la seule chose pour laquelle je suis très susceptible.
Animal de compagnie : J'aime bien les dragons, mais c'est impossible à domestiquer ces bêtes là... Et croyez moi, j'ai essayé !
Pouvoirs spéciaux : Euh... Ceux que j'ai me suffisent, merci !
Histoire :
Je suis né il y a près de 66 ans maintenant, d'un père Corse, et d'une mère japonaise, tous deux sorciers de leur état. J'ai grandi dans cette petite île méditerranéenne, et j'y ai passé une enfance idyllique. Nous vivions dans le seul village sorcier de l'île, dissimulés aux moldus. Nous n'étions pas très nombreux, une dizaine de maison peut-être, mais nous nous connaissions tous, et nous formions une communauté plutôt bien organisée, si bien que nous avions rarement des rapports avec l'extérieur, en dehors des études pour les jeunes, qui devaient se passer en France. Lorsque mon père a ramené ma mère au village, suite à leur rencontre pendant leurs études, cela a bien jaser tout le monde, mais les villageois, très hospitaliers, oublièrent bien vite que ma mère était une étrangère.
Cependant, lorsque je suis né, et que j'ai très vite commencer à manifester des dons pour le contrôle du feu, la pilule a été plus difficile à avaler. Dans le contexte de l'époque (60 ans en arrière, et dans un petit village reclus), rien d'étonnant à ce que les gens, qui ne savaient rien ou presque de la magie élémentaire, aient un petit peur de voir un bébé de 3 mois en train de s'amuser avec des flammes en forme de nounours... Mais mes parents ont vite appris à maitriser ce qu'ils appelaient affectueusement mes "petits accidents pyrotechniques"... Et plus tard, lorsque j'ai commencé à prendre conscience que je pouvais faire ça, j'ai toujours fait très attention, car le feu est un élément instable qui a besoin d'être maitrisé parfaitement. Alors, même si je ne savais pas très bien ce que cela voulait dire, j'écoutais mes parents, et n'usais de mon don que dans des espaces qui ne risquaient pas de partir en fumée. Alors, très vite, les villageois m'ont accepté, et lorsque j'ai commencé mes études dans cette même école où je me présente aujourd'hui au poste de professeur, et que j'ai appris à maitriser cela, je m'amusais à donner des petits spectacles ou je montrais les choses que j'avais apprises en classe. Ainsi, je devins vite apprécié de tout le monde, et jamais personne n'eut à se plaindre de moi.
Lorsque j'eus atteint l'âge de onze, je dus partir en France pour assurer ma formation magique. Je fus envoyé à l'Elements Académie, et j'y suivis un cursus scolaire banal, en dehors de mes très bonnes compétences en Défense Contre Les Forces Du Mal, ainsi qu'en Magie du Feu, où j'excellais particulièrement. En dehors de ça, mes notes étaient plutôt médiocres, car je passais plus mon temps à rêver qu'à réellement suivre les cours. Je finis tout de même le lycée, mais décidai qu'une licence ne me serait pas utile. Et après avoir mûrement réfléchi (bien que cela me causa des migraines assez pénibles...), je décidai de découvrir l'autre île dont je tenais mes origines. Je prévenais mes parents que je ne rentrerais pas, et je partis à la conquête du monde.
N'étant jamais vraiment sorti de mon île, ou de l'Académie, je ne connaissais pas grand chose du monde extérieur. Je n'en savais que ce que j'avais bien voulu retenir de mes cours... Autant dire, pas grand chose... Deux semaines après mon départ, je marchai dans les campagnes belges, à plusieurs kilomètres de tout moldu. Soudain, je vis un homme -vraisemblablement un sorcier- apparaitre de nulle part avec un CRAC ! caractéristique des personnes qui transplanent. L'homme était beaucoup plus vieux que moi. Je n'aurais su dire avec précision son âge. Il était vouté sur lui même, et semblait devoir reprendre ses forces après avoir transplané. Le pauvre vieux avait dû se tromper dans son transplanage, autrement, je doutais qu'il ait volontairement voulu atterrir si loin de toute présence humaine. Ha, comme j'étais jeune et naïf, et comme je me trompais lourdement...
Il se trouva que ce vieil homme, qui s'appelait Cassandre Octavius, était un très puissant sorcier, qui avait tout comme moi la particularité de maitriser le feu, et ce vieux sorcier, qui avait plus d'un siècle en vérité, m'enseigna tout ce que je sais aujourd'hui. Lorsqu'il me vit la première fois, il m'affirma effectivement qu'il s'était trompé dans son transplanage, mais que s'il avait atterri, malgré les probabilités, en face de moi, ce ne pouvait être dû au hasard. "Rien n'est dû au hasard !" est sans aucun doute la phrase que j'ai le plus entendu pendant tout le temps que j'ai passé avec lui...
Ainsi j'avais trouvé un mentor, qui décida (oui oui, je n'ai pas du tout eu mon mot à dire, même s'il était affreusement grincheux et aigri...) de partir avec moi dans ma quête de mes origines. En chemin, nous faisions étapes dans des auberges perdues où on ne nous demandait rien (on avait quand même l'air un peu bizarre, car à l'époque, les sorciers ne s'adaptaient que très peu aux moldus, surtout un vieil aigri comme Octavius...). Lorsque nous marchions, loin de tout village ou présence moldu, il m'entrainait, et j'appris bien vite à quel point le feu pouvait être dévastateur.
Cela faisait près d'un mois que nous marchions. Nous étions dans des montagnes de l'Est de l'Europe, je ne saurais dire lesquelles, car la fatigue et la faim étaient beaucoup plus importantes pour moi que notre position géographique. Soudain, l'odeur caractéristique d'un feu de forêt emplit l'air, et en levant la tête, nous ne tardîmes pas à apercevoir l'incendie qui dévorait une grande partie du flanc de la montagne. Octavius me sourit "Voilà qui sera un bon entrainement !"
Nous avons donc, non sans mal éteint l'incendie. Et lorsque ce fut fait, et que je m'écroulais de fatigue au sol, soulagé et heureux, mon maître me releva, et me montra ce qu'il restait de cette forêt dont les arbres avaient sans doute poussé pendant des centaines d'années. Elle venait d'être réduite en poussière, en quelques minutes seulement. Ce spectacle me bouleversa profondément, et ce fut la leçon la plus importante que je ne reçus jamais. Le feu maîtrisé est lumière et chaleur. Le feu incontrôlé, en revanche, ne sera que destruction et tourment.
La suite de mon voyage, je ne vous la raconterai pas. Ce serait un récit long et fastidieux, et nous entrerions dans des détails de ma vie qu'il pourrait m'être pénible de vous dévoiler. Voici donc tout ce que vous avez besoin de savoir. Après cette leçon de magie et de vie, Octavius et moi avons voyagé jusqu'au Japon. Il est resté avec moi et jusqu'à sa mort, quelques années après notre arrivée, il n'a cessé de m'apprendre tout ce qu'il savait en matière de Magie Élémentaire. Je suis resté près de 40 ans au Japon, à transmettre le savoir que m'avait laissé Octavius à tous les jeunes sorciers qui le désiraient. Je rentrais de temps en temps en Corse pour voir mes parents. Il y a 2 ans, j'ai décidé de rentrr en Corse définitivement, et suite à des problèmes financiers, et ayant près de 40 ans d'expérience dans l'enseignement, je me présente désormais devant vous, afin de devenir professeur de Magie du feu et de perpétuer l'héritage d'Octavius.
Dernière édition par Vincent Paoli le Ven 24 Aoû 2012 - 16:42, édité 6 fois