Nom :
Deslauriers
Prénom :
Raphaëlle
Age :
18 ans
Maison :
Maison de la Terre
Type d'Études et Année :
Études Supérieures, 8ème année.
(Nom de la Licence demandée : Licence d’étude de la Nature)
Physique :
Banale, Raphaëlle mesure dans les 1m65 et est plutôt maigrichonne, sans avoir la peau sur les os non plus. Elle ne fait pas de sport et mange comme un oiseau. Elle oublie même parfois des repas, trop absorber dans un livre ou par un petit malade. Elle n’est pas ce qu’on appelle une planche à pain, mais elle ne ferait pas la une des magasines. Sa peau est très pâle ou brûler, car bon, elle passe beaucoup de temps dehors, ou dans la forêt, mais elle ne met pas de crème alors elle crame. Typique quoi. Ses cheveux brun bien simples, sont courts, ils flottent au dessus de ses épaules. Elle à ce qu’on appelle des rosettes, qui font dépasser deux petite couette de cheveux par-dessus sa tête. Sinon, une mèche plus longue lui glisse souvent sur le nez. Pour ces yeux, ils sont brun rouille, comme les feuilles en automne.
Côté vestimentaire, elle va souvent poster l’uniforme, ou bien des petites robes. Elle est frileuse alors elle porte toujours son eternel veste noire. Pas de pantalon pour les filles de bonnes familles, mais elle cache bien un jogging gris dans son armoire, pour les jours pluvieux. Rien dans les cheveux, pas de maquillage, ni de bijoux, pas de ruban ni de chichi, vive la simplicité. Bon, on ne la critiquera pas hein. (Moi, la narratrice, je suis pareille.)
Caractère :
Ok, vous le verrez vous-même, Raphaëlle est de nature plutôt solitaire. Très stéréotyper. C’est elle, la fille un peu bizarre qu’on n’ose pas trop approcher. Pour sa part, elle s’en fiche, elle n’est jamais seule. Née d’élémentariste de terre, elle n’a pas vraiment suivit la lignée de pousse verte. En effet, on oublie souvent que dans la terre, il y a la flore, mais il y a aussi la faune qui y est directement lié. Notre jeune sorcière elle, à beaucoup plus d’affinité avec les animaux qu’avec les fleurs et les plantes.
Peut-être que sa magie y est pour quelque chose, mais c’est surtout son amour inconditionnel pour ce qui est vivant. Elle est douce, gentille et ne ferait de mal à personne, et ça, les animaux le sentent. Ses colères vont à l’encontre de la violence, elle se fâche, car elle trouve tout ce qui est violent inutile. Dès qu’elle voit de la bagarre, elle ne peut s’empêcher d’intervenir.
La violence verbale, elle ne l’accepte pas vraiment non plus. Très fidèle à ses amis, elle n’aimera pas qu’on dise du mal d’eux. Par contre, si c’est elle la source des messes basses, ce n’est pas grave. Elle, elle connait la vérité. Parlant de vérité, l’honnêteté est l’une de ses valeurs et elle est très franche, un peu trop parfois.
Elle n’est pas stupide, ni naïve, mais on peut parfois le croire dans ses réactions. Elle n’est pas vraiment curieuse, mais elle se soucie des gens et aiment leur poser des questions. Si elle veut bien écouter, elle ne sait pas toujours quoi répondre. Elle est plutôt ennuyeuse dans ses conversations et elle le sait. C’est pourquoi elle ne parle pas beaucoup.
Animal de compagnie :
Chat de sexe féminin nommée Charlie. Raphaëlle l’a trouvé sous la pluie dans une ruelle, affamée et depuis, elles sont toujours scotchées.
Pouvoirs spéciaux :
Parler aux animaux ? Si ce n’est pas possible, c’est correct. Après tout, ce n’est pas vraiment un élément.
Histoire :
Comme vous l’avez lu plus haut Raphaëlle, est le genre d’enfant qu’on pourrait décrire de commune. Là vous allez m’arrêter et me dire « Parce pour toi, avoir des parents riche et célèbre, c’est commun ? ». Non, en effet, vous avez raison, mais si on exclu ça, elle peut paraitre bien banale. Si elle avait été un mec, on l’aurait appelée Raphaël au masculin et sa vie n’aurait surement pas été différente. C’est pourtant une fille que sa mère avait « pondu » et elle ne faisait pas vraiment leur fierté.
Ok, je sais que je vais être évasive dans ma description, mais bon, pour ceux qui ne sont pas au courent, il faut bien leur expliquer qui sont ces supers parents riches et célèbres. Sans nommer de nom, je crois bien que vous pouvez le devinez.
Indice, Elle est dirigeant d’une grande firme de botanique internationale connu pour ses plantes qui survivent bizarrement l’hiver (On parle ici de Crocus ou de perce-neige et autre fantaisie du genre). Il est diplomate pour la France du côté Moldus et parle une vingtaine de langue, de plus il est un fervent environnementaliste qui se bat pour sauvé des forêts importantes.
Et oui, notre cher Raphaëlle est la digne fille d’Estella et Clovis Deslauriers, des sorciers élémentalistes de la terre qui ont décidé de faire leur place dans la vie pleine d’action des Moldus. Étant aussi connu, ils ont toujours attendue beaucoup de leur fille, mais celle-ci ne montra pas beaucoup de capacité exceptionnelle. Du moins, pas à leurs yeux. Qu’elle ait un talent inouï avec les animaux, qu’elle puisse les approcher alors que personne ne le peux, qu’elle trouve toujours comment les soigner (si elle a les potions nécessaires) et qu’elle semble presque, ou du moins, l’est peut-être, doué d’un pouvoir lui permettant de communiquer avec eux, tout ça était inutile.
Pendant toute son enfance et son adolescence, la jeune fille ne quitta pratiquement pas la maison. On avait soit honte de la montrer, soit honte de même en parler. De plus, ses parents voulant bien faire, lui payèrent les meilleurs professeurs privés. Bien sur, dans de nombreuse matière, plus théorique elle excellait. L’anglais et l’allemand lui était facile, de plus elle pouvait régulièrement pratiquer avec son père. On avait même tenu à lui donner des cours de latin. Les cours Histoire de la magie et potion aussi, elle réussissait bien. La partie pratique des cours de sortilèges et de défense contre les forces du mal n’allait pas trop, mais ses parents étaient pareil, ils n’en espéraient pas grand-chose. Seulement, les cours de métamorphose et de pratique de son élément lui-même, elle avait beaucoup de difficulté.
Ses parents, dévastés, décidèrent de prendre la dernière chance qu’ils avaient. Ils l’envoyèrent à Element Academie. Là vous allez me dire, mais ils y sont allée, qu’est-ce qu’il y a de si pire. Eh bien, je ne sais pas. Je crois que c’est parce qu’ils croyaient beaucoup plus en l’école à la maison ou leur fille étaient beaucoup plus encadrée. Mais bon, maintenant qu’elle semblait rien montrer d’intéressent, autant l’envoyer là-bas, ça coutera moins cher déjà.